Portes-ouvertes à l‘AFASEC le 15 mars : 4 000 emplois à pourvoir.

 

Portes-ouvertes à l‘AFASEC le 15 mars : 4 000 emplois à pourvoir.

Avis aux adolescents, aux amateurs, aux chômeurs et à ceux qui ont envie de changer de voie...

 

Les courses c’est magique : un spectacle toujours renouvelé, un scenario quasi imprévisible, le déploiement d’une énergie détonnante, celle des pur-sang et des trotteurs.

Ce monde vous fascine ?

Vous êtes passionnés par les chevaux ?

Les 5 écoles de l’AFASEC s’ouvrent à vous le 15 mars.

Elles proposent à partir de 14 ans une formation en alternance, en apprentissage.

Pour les adultes, chômeurs ou salariés en reconversion ? C’est aussi possible, grâce à une formation adaptée, qui dure dix mois : « métiers du cheval ».

Pas besoin d’être cavalier au départ, les formations comprennent des cours d’équitation, de connaissance des chevaux, du sport et des cours d’anglais. Mieux vaut être en bonne condition physique pour monter des heures par jour, bien motivé et bien sûr, avoir envie de soigner les chevaux, de les accompagner en fait. « Dans les écuries, nous avons besoin de personnes qui veulent s’occuper des chevaux, pas seulement les monter sur l’hippodrome Les demandeurs d’emploi ou adultes en reconversion ont la maturité indispensable pour remplir ce métier exigeant et physique », souligne les entraîneurs.

Le 15 mars de 10 à 16h, vous pourrez discuter avec des élèves et des enseignants.

Tout le monde ne devient pas jockey, ni vedette de télé.

C’est sûr.

La liste des métiers qu’on découvre est longue et variée : entraîneur, assistant d’entraîneur, driver, cavalier d’entraînement, lad, garçon de voyage...

Et pourquoi continuer à indiquer tous ces métiers au masculin alors que 80% de ceux qui entrent dans le secteur sont des filles !!!!!!!!!!!

Et puis, si le cœur vous en dit, vous pouvez toujours aller voir évoluer les galopeurs à l’entraînement, sur la magnifique piste des aigles, la plus longue... Sur le sable doux aux sabots, on entend à peine arriver les cavaliers, les pursang ont l’air de glisser au-dessus du sol comme une écharpe soyeuse... C’est magique !

Pour goûter ce merveilleux moment il faut y aller à l’aube. Mieux vaut s’habituer à jouer les lêve-tôt (indispensable dans ce métier) et puis, d’heure en heure, les lots de chevaux se succèdent sous l’œil de lynx de leur entraîneur...